Ces huit zicos un peu dejantés ont decidé un beau jour de printemps d'aller semer des graines de swing au coeur des villes et villages français. Bien leur en a pris car depuis, I'arrosoir en bandoulière, ils sont devenus les représentants officiels de la culture du swing de rue !
Quand la Banda arrive en ville, les gens changent de trottoir... pour venir l'écouter. Bien qu'en réalité elle s'entende à plusieurs pâtés de maisons à la ronde !
Mais ce qu'il faut savoir, c'est qu'elle donne autant à voir qu'à ouir cette banda : des tenues taillées "sur mesure", des chorégraphies réglées au millimètre (ou plutôt au litre !), des cuivres qui étincellent : un "vrai son et lumières" ambulant.
Parce qu'ils bougent en plus ? Eh oui ! A l'aide de la Jojomobile qui transporte ses percus infernales (à ne pas rater, c'est inédit), la Banda peut aller partout dénicher la morosité et lui faire sa fête. C'est de la fanfare "tout terrain", des givrés du cuivre qui ne comprennent que le swing cling bing badaboum tching ! (remplacer par les onomatopes qui conviennent).
Bon on pourrait en parler longtemps, d'autant qu'eux-mêmes ne sont pas avares de discours, mais arrêtons nous à ce proverbe avisé : "Bandajojo : zique et show a gogo, et trois nuits sans dodo !"